vendredi 17 avril 2009

2 péchés en 4 mots

Sur un coup de tête dans un meeting, pendant une discussion qui n’aboutissait nulle part, j’ai traité (en francais) quelqu’un d’esti de tête de cochon. J’ai apris après qu’il comprenait le francais.

Mon boss qui ne rie jamais, s’est esclaffé d’un gros rire gras